Identité

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Chasse à l’homme blanc

Chasse à l’homme blanc

Les plus férus de films d’action des années 90 parmi nos lecteurs se souviennent peut-être de la rencontre surtestostéronée entre l’acteur Jean-Claude Van Damme et le réalisateur John Woo. Un thriller élégamment filmé, mais bête à manger du foin comme il se doit, dans lequel des méchants vraiment très méchants s’amusaient à traquer des miséreux dans les rues de la Nouvelle-Orléans. Le tout, par simple plaisir sadique.
Migros a mal négocié son virage woke

Migros a mal négocié son virage woke

La fameuse enseigne helvétique a voulu tacler les «vieux hommes blancs» dans un spot publicitaire en faveur de l’inclusion. Avec un résultat que l’on dira pudiquement malheureux.
Anatomie d’un délire bien-pensant

Anatomie d’un délire bien-pensant

Pendant deux semaines, un honnête bistrot villageois est devenu le visage de l’extrême-droite dans des médias hors sol. Enquête sur une dérive journalistique exemplaire.
Vous avez dit réac?

Vous avez dit réac?

L’abondante rentrée littéraire nous réserve une plaisanterie d’un goût douteux: Le style réactionnaire de Vincent Berthelier. À peine publié chez un éditeur qui se veut «démocritique» et pratiquant l’orthographe rectifiée, cet ouvrage où le raccourci est roi – et où les préjugés conjugués aux poncifs passent les plats – est encensé ou modérément critiqué par les médias.
Hommage à une grande reine

Hommage à une grande reine

[...] Je ne vais pas tartiner sur son héroïsme, sur sa descendance pas toujours très digne, mais plutôt sur ce qu’elle incarnait en termes de continuité historique.
La politique de l’immobilisme

La politique de l’immobilisme

Coïncidence estivale. Fin juillet, trois sujets genevois ont l’honneur des médias. A y regarder de plus près, on trouve leur point commun: c’est le manque total de volonté de les régler.
Trop blancs pour chanter

Trop blancs pour chanter

Un bar bernois est sous le feu des critiques et peine à se justifier après avoir décidé d’interrompre un concert pour des raisons raciales.
« Il n’y a pas d’opportunisme de ma part »

« Il n’y a pas d’opportunisme de ma part »

Il a connu tous les niveaux ou presque de l’église et de la politique suisse. Visage médiatique incontournable du diocèse de Lausanne, Genève et Fribourg à la fin des années 2000, Nicolas Betticher sort de dix ans de silence avec un livre, Malgré tout, dans lequel il appelle à une nouvelle Réforme. Désormais «simple curé» à Berne, il dénonce une véritable crise institutionnelle catholique dans un livre retentissant.