Pour accéder à cet article, vous devez souscrire à un abonnement (Abonnement en ligne + papier, Abonnement de soutien ou Abonnement en ligne) ou vous connecter à votre compte (log in).
Cet article est publié en partenariat avec l'organisation Pro Suisse.« Célébrer l’engagement et la tradition humanitaire de la Suisse ». C’est avec cette volonté que la Ville de Lausanne a annoncé ce mercredi la personnalité de son invité d’honneur pour les festivités du 1er août : Philippe Lazzarini, Commissaire général de l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA). « Personnalité́ suisse incontournable sur la scène diplomatique internationale », il est décrit comme incarnant « parfaitement l’engagement pour la paix et la tradition humanitaire de notre pays, partie intégrante de notre histoire et de notre cohésion nationale. » « De…
Après avoir publié de nouvelles traductions de Max Scheller (L’homme du ressentiment) et de G.K. Chesterton (Orthodoxie), ainsi que la première version française de L’État servile d’Hilaire Belloc, les éditions Carmin poursuivent leur œuvre de salubrité intellectuelle en éditant deux œuvres de Théodore Darymple. Quel est l’intérêt de cet auteur britannique inconnu du public francophone ? Depuis bien longtemps j’apprécie et goûte presque quotidiennement à la prose de Bossuet, l’intraitable et pourtant irénique évêque de Meaux. Je garde précieusement dans ma sabretache un petit volume de l’auteur du Grand Siècle, que ce soient les Oraisons funèbres, les Discours sur l’histoire universelle, les Elévations ou encore l’Histoire des…
15’000, puis 16’000 puis 18'000... Chaque année depuis la fin de la pandémie, le pèlerinage de Chrétienté, plus communément connu sous le nom de pèlerinage de Chartes, mobilise des foules de jeunes catholiques en France. Entièrement réservé à la liturgie tradionaliste (la fameuse « messe en latin ») et marqué par l’omniprésence de drapeaux régionaux, cet événement très patriotique a connu un coup de projecteur inespéré cette année : une rediffusion de sa messe de clôture sur CNews ! Le pélerinage de Chartres, rassemblement d'une jeunesse avide de transmission. (Photo: Eichthus) Quoique très ancré dans l’histoire française, l’événement attire aussi chaque année des pèlerins…
Pour accéder à cet article, vous devez souscrire à un abonnement (Abonnement en ligne + papier, Abonnement de soutien ou Abonnement en ligne) ou vous connecter à votre compte (log in).
Ce roman de Daniel Maggetti raconte l’histoire de son grand-père maternel, un charbonnier italien des Préalpes lombardes, qui a fini par émigrer au Tessin où sa descendance s’établit. Le « je » du texte est l’auteur lui-même, Daniel Maggetti, né en 1961 dans un village suisse, dans les Cento valli, Borgnone, au pied de « la montagne qui hurle ». Il n’en parle pas par pudeur ici, mais Daniel Maggetti devra émigrer à son tour pour faire des études universitaires, destin de tout Tessinois embrassant cette voie. Il ira à Lausanne et y accomplira une brillante carrière le menant à son poste de professeur…
« Les femmes et le Coran », « Expériences, résistances et mobilisations des femmes musulmanes », « Boîte à outils antiracistes » destinée aux « étudiant·exs racisé·exs de l’UNIL et de l’EPFL »... Avec une ribambelle de propositions de ce genre, la Semaine d’Action contre le Racisme de l’Université de Lausanne avait suscité quelques interrogations, fin mars. En cause : l’oubli de la question de l’antisémitisme, une idéologie fortement « décoloniale » et la participation du très antisioniste Kehinde Andrews, titulaire de la chaire d'études noires à la Birmingham City University. Un intellectuel, rappelait Watson, qui invitait à ne pas confondre « terreur » et « révolution » à propos de la lutte armée du Hamas. Présentation de l'événement…
Pour accéder à cet article, vous devez souscrire à un abonnement (Abonnement en ligne + papier, Abonnement de soutien ou Abonnement en ligne) ou vous connecter à votre compte (log in).
Mon premier souvenir de Lausanne doit dater de 1991. C’était la fin de l’année, les décorations de Noël réchauffaient admirablement le climat et une tante m’avait emmené voir La Belle et la Bête, sauce Walt Disney, au cinéma. À moi qui venais d’un petit village comme Vallorbe, la ville me semblait majestueuse et féérique.Plus tard, dans ma vie, j’ai vécu à Lausanne. J’aimais mon quartier, très multiculturel, et je m’y sentais bien. Mais la féérie avait disparu : parfois, des gens s’asseyaient sur le bord de la fenêtre de mon salon pour dealer, et il arrivait aussi que ma femme et moi…
Pour accéder à cet article, vous devez souscrire à un abonnement (Abonnement en ligne + papier, Abonnement de soutien ou Abonnement en ligne) ou vous connecter à votre compte (log in).