Le vénérable palais des papes, jadis poumon de la chrétienté, est la cible d’une spectaculaire entreprise de destruction de la mémoire des peuples européens. Reportage.
Leonid Ilitch Brejnev (1906-1982) est resté dans les esprits comme le symbole de la stagnation de l’Union soviétique qu’il dirigea pendant dix-huit longues années, en Staline de seconde catégorie. Et pourtant, il fut le premier dirigeant soviétique à avoir donné la priorité au pain sur les fusils.
La récente traduction française de l’ouvrage de l’historien Pio Moa "Les mythes de la guerre d’Espagne 1936-1939", dix-neuf ans après sa première édition espagnole, est à remarquer. Au-delà de l’aspect factuel, la lecture de ce livre nous pose la question de l’histoire, de ses méthodes et surtout de son rôle.