Pour accéder à cet article, vous devez souscrire à un abonnement (Abonnement en ligne + papier, Abonnement de soutien ou Abonnement en ligne) ou vous connecter à votre compte (log in).
Pour accéder à cet article, vous devez souscrire à un abonnement (Abonnement en ligne + papier, Abonnement de soutien ou Abonnement en ligne) ou vous connecter à votre compte (log in).
Ce billet est tiré de l'infolettre personelle de l'auteur. Depuis une bonne semaine, je suis pris dans des échanges de courriels plus ou moins venimeux autour d’une publication d’un de mes anciens professeurs d’université, le théologien Pierre Gisel. Versé depuis toujours dans les questions liées à la religion, j’ai suivi quelques cours dans le domaine durant mon parcours académique. C’était au sein de ce qu’on appelait alors le DIHSR, le département interfacultaire en histoire et sciences des religions, à l’Université de Lausanne. En effectuant quelques recherches pour ce billet, je constate qu’il semble avoir disparu. Quoi qu’il en soit, c’est…
Pour accéder à cet article, vous devez souscrire à un abonnement (Abonnement en ligne + papier, Abonnement de soutien ou Abonnement en ligne) ou vous connecter à votre compte (log in).
Très saint Père, Tout d’abord, pardonnez-moi de commenter un livre que je n’ai pas encore eu la possibilité de lire. Tout juste publiée, votre autobiographie Hope s’ajoute en effet à Life. Mon histoire dans l’Histoire (mars 2024) et à une pléthore d’ouvrages issus de conversations sur des sujets qui vous tiennent à cœur : l’écologie, l’humilité, l’inclusion… Ces thèmes, bien que nobles, soulèvent une question centrale : comment concilier une telle prolixité à l’ère des fidèles pressés et souvent débordés par les soucis du quotidien ? N’ayant pas Netflix, je n’ai pas non plus visionné la mini-série à laquelle vous avez participé, et j’espère que…
Pour accéder à cet article, vous devez souscrire à un abonnement (Abonnement en ligne + papier, Abonnement de soutien ou Abonnement en ligne) ou vous connecter à votre compte (log in).
Pour reprendre le périple de notre auteur depuis le début, cliquez ici. Avant de quitter Alger nous montons à la basilique Notre-Dame d’Afrique. Surplombant la ville et lui faisant face, elle domine la mer chargée de bateaux en attente. La situation est unique, et les familles algériennes viennent se retrouver sur l’esplanade. Terminée en 1872, elle a été construite dans le style romano-byzantin. L’intérieur est lumineux. Le regard, distrait par les fresques et décorations multiples, ne distingue pas tout de suite l’inscription dans le chœur : « Notre Dame d’Afrique, priez pour nous et pour les musulmans ». En-dessous et sur les murs des bas-côtés, des…
Pour accéder à cet article, vous devez souscrire à un abonnement (Abonnement en ligne + papier, Abonnement de soutien ou Abonnement en ligne) ou vous connecter à votre compte (log in).
Pour accéder à cet article, vous devez souscrire à un abonnement (Abonnement en ligne + papier, Abonnement de soutien ou Abonnement en ligne) ou vous connecter à votre compte (log in).
La réouverture de Notre-Dame de Paris avait tout pour vibrer d’histoire : le bourdon résonnant dans la capitale glaciale, une cathédrale sauvée des flammes et des cérémonies grandioses. Mais l’enthousiasme s’est vite heurté à une réalité plus gênante : des prêtres déguisés en confettis géants, un Macron proclamant « Vive la République » sous les voûtes sacrées, et un Vianney en baskets blanches célébrant la transcendance à coups de guitare électrique. Entre la volonté de « réinventer » les ornements liturgiques – avec des créations dignes d’une expo de design contemporain – et une musique d’orgue dissonante, tout semblait conçu…