C’est l’une des interrogations qui sous-tendent l’écriture de ce journal, édition après édition: comment des populations que l’on dit libres, depuis le triomphe de la social-démocratie, peuvent-elles consentir à être traitées comme de grands enfants par des gens qui vivent de leurs impôts? Pourquoi une telle servitude non seulement volontaire, mais bien souvent gourmande?