La prochaine édition du Petit Robert fait la part belle à des termes laids et déconnectés de toute réalité physique. Et si c’était ça, l’enrichissement culturel?
La réécriture politiquement correcte de l’histoire suscite l’antipathie naturelle des milieux conservateurs. Pourtant, selon l’essayiste Raphaël Baeriswyl, ces derniers ont bien tort de s’émouvoir du sort réservé au naturaliste dont le souvenir embarrasse aujourd’hui grandement l’Université de Genève.
Benjamin Mercerat sort aux Editions de l’Aire une méditation stimulante consacrée à un génie des lettres romandes trop souvent mal compris. On y découvre un écrivain tiraillé entre l’agnosticisme et le «besoin de grandeur», qui donne d’ailleurs son nom à l’un de ses essais.
Il y a soixante ans, le 31 octobre, l’orientaliste polymathe Louis Massignon (1883-1962) achevait son pèlerinage sur terre. En ces temps de crispation identitaire, revenons sur cet homme hors norme avec le livre de Manoël Pénicaud: Louis Massignon – Le «catholique musulman».
La première fois que l’auteur de ces lignes a contacté Léonore Porchet, en 2016, la Verte n’était pas encore conseillère nationale ni même députée vaudoise. Elle était en revanche déjà très Verte, au point de prendre la défense, lors de l’interview en question, d’un collègue de parti, porte-parole d’une mosquée lausannoise, qui se trouvait dans l’incapacité de serrer la main des dames en raison de sa confession.
Le zèle de l’administration cantonale empêche une vénérable buvette du Balcon du Jura de fonctionner normalement depuis plusieurs années. Mais la dernière lubie des fonctionnaires, qui porte sur les toilettes des lieux, dépasse l’entendement.
Membre de l’association qui édite notre journal, la présidente des femmes UDC romandes Lucie Rochat s’est rendue à une "Drag Queen Story Hour" à Martigny. Elle nous livre ici son récit.
Si comme l’auteur de ces lignes vous n’avez pas vu de comédie romantique depuis vos premiers efforts de vie de couple, méfiez-vous: il va sans doute falloir remettre l’ouvrage sur le métier.
Les plus férus de films d’action des années 90 parmi nos lecteurs se souviennent peut-être de la rencontre surtestostéronée entre l’acteur Jean-Claude Van Damme et le réalisateur John Woo. Un thriller élégamment filmé, mais bête à manger du foin comme il se doit, dans lequel des méchants vraiment très méchants s’amusaient à traquer des miséreux dans les rues de la Nouvelle-Orléans. Le tout, par simple plaisir sadique.
La fameuse enseigne helvétique a voulu tacler les «vieux hommes blancs» dans un spot publicitaire en faveur de l’inclusion. Avec un résultat que l’on dira pudiquement malheureux.