
L’onde de choc venue des USA
Bien sûr, du côté catholique, l’Académie Pontificale pour la Vie, à Rome, s’est fendue d’un communiqué rappelant qu’«en choisissant la vie, c’est notre responsabilité pour l’avenir de l’humanité qui est en jeu.» Mais en Suisse romande? Pas grand-chose, à l’évidence, sauf du côté des réseaux sociaux sur lesquels certains milieux n’ont pas le triomphe modeste, ou l’indignation contenue. C’est que du côté des institutions, le malaise règne, avec une position pas toujours facile à assumer: «On ne peut pas être pour l’avortement, mais on ne peut pas non plus être contre», explique par exemple Laurent Zumstein, conseiller synodal au sein…