
Plutôt débile ou débile ?
Il faut s’imaginer un lundi matin d’août, du côté du célèbre Jardin japonais de la Cité thermale. À peine la voiture parquée, un petit groupe de dealers interrompt sa discussion pour nous regarder fixement. Hélas, une famille assez peu arc-en-ciel sort de l’habitacle, et nos acteurs du vivre-ensemble, sans doute contrariés, retournent à leurs précieuses transactions interculturelles. Un autre vendeur, seul, est en train de tuer le temps sur un banc, près des gouilles du parc. Gêné dans sa lecture de la Critique de la raison pure, il grogne en réalisant que nous sortons le téléphone pour prendre une photo dans…