Articles de Myriam Bettens

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Mater Dolorosa 5/5 – Donner corps au deuil

Réservé aux abonnés Mater Dolorosa 5/5 – Donner corps au deuil

La maternité est perçue comme un événement heureux et on oublie qu’elle peut aussi être un lieu d’épreuves. Les rares propositions d’accompagnement spirituel de la naissance qui existent en dehors des hôpitaux cherchent à redonner sens à l’inconcevable. Le recours à la parole, ainsi qu’aux gestes symboliques permettent de faire exister et rendre visible la perte d’un être, qui n’a souvent laissé de souvenirs que dans la chair de la mère.
Mater Dolorosa 4/5 – Déni de miséricorde ?

Réservé aux abonnés Mater Dolorosa 4/5 – Déni de miséricorde ?

Quand la souffrance de la perte se double à celle de la lutte qu’il faut mener pour que soit reconnu le droit au deuil, les aumôneries hospitalières cherchent à créer un espace permettant à celui-ci de s’exprimer. Elles offrent aux parents la possibilité d’inscrire la mort de leur bébé dans leur propre récit de vie. Encore faut-il que tous puissent y avoir accès.
Mater Dolorosa 3/5 – Un deuil fantôme

Mater Dolorosa 3/5 – Un deuil fantôme

Les femmes ayant vécu une perte de grossesse précoce se plaignent d’une prise en charge médicale peu empathique. L’immatérialité de l’événement conditionne ce manque de reconnaissance. Si la perte était davantage légitimée, seraient-elles mieux accompagnées ? La réponse n’est pas si évidente. 
Mater Dolorosa 2/5 – Maux compte triple

Mater Dolorosa 2/5 – Maux compte triple

Avant d’être médical, le problème de la banalisation de la fausse couche est sociétal et grève la perte d’une souffrance encore plus grande. Entre idées reçues, remarques blessantes de l’entourage, sentiment de culpabilité et injonctions à réussir sa maternité, ces différents aspects rendent le deuil périnatal encore plus dur à surmonter.
Mater dolorosa

Mater dolorosa

Chaque minute, quarante-quatre femmes subissent une fausse couche dans le monde. Au niveau suisse, les estimations avancent qu’une grossesse sur quatre serait concernée. Malgré cela, le silence autour de cet événement douloureux et les lacunes dans l’accompagnement persistent. Enquête.
Mater dolorosa 1/5 – Treize semaines, sinon rien

Mater dolorosa 1/5 – Treize semaines, sinon rien

Une grossesse sur quatre se solde par une fausse couche. Qu’elle soit précoce ou tardive, la nuance est de taille, car elle influence tous les aspects de la prise en charge. Et ce sont treize semaines qui font la différence.