
Un Dieu, pas de maître
Depuis trois ans, ce journal combat un phénomène étrange que nous avons nommé progressisme autoritaire. Prêts à sacrifier amitiés et confort économique, nous avons dénoncé, mois après mois, les vaches sacrées médiatiques romandes – souvent vertes, à défaut d’être espagnoles – qui imposaient des idéaux indiscutables, relayés par nos médias d’État. Semaine après semaine, nous avons également fustigé les débats du service public qui annonçaient la possible réélection de Trump comme une catastrophe mondiale imminente, soutenus par des plateaux d’experts unanimes. Nous avons défendu le respect dû à nos lieux de culte, à nos traditions et à l’âme de notre peuple.…