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Un grand tumulte s’est éteint. Le tonnerre de la controverse, qui a longtemps parsemé la vie de Jean-Marie Le Pen, s’est tu. Et maintenant, loin des passions qui, tantôt, ont éclairé, tantôt obscurci son existence, est venu le temps pour les générations suivantes d’évaluer l’action de cet homme. Jean-Marie Le Pen s’en est allé, emportant avec lui le dernier éclat d’une époque où le verbe politique fleurait bon le défi, où l’orateur électrisait les foules et troublait les esprits et les cœurs tièdes. C’était un météore : brillant, incandescent, mais portant une part d’ombre. Qui était Jean-Marie Le Pen ? Un patriote ?…
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Par-delà les marées houleuses de notre époque désenchantée, où l’homme moderne se perd dans les vapeurs viciées de l’indifférence, le pape François ose un pas de côté. Il invite à la redécouverte de ce sanctuaire méconnu et pourtant à portée de tout un chacun : la littérature. En cette période où les esprits semblent languir, captifs d’une frénésie technique, la parole papale s’élève, pleine de douceur mais ferme comme un phare au milieu de la tempête, pour nous rappeler que la quête de la Vérité et de l’Absolu trouve encore, et peut-être plus que jamais, une patrie dans les pages des…
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Après avoir publié de nouvelles traductions de Max Scheller (L’homme du ressentiment) et de G.K. Chesterton (Orthodoxie), ainsi que la première version française de L’État servile d’Hilaire Belloc, les éditions Carmin poursuivent leur œuvre de salubrité intellectuelle en éditant deux œuvres de Théodore Darymple. Quel est l’intérêt de cet auteur britannique inconnu du public francophone ? Depuis bien longtemps j’apprécie et goûte presque quotidiennement à la prose de Bossuet, l’intraitable et pourtant irénique évêque de Meaux. Je garde précieusement dans ma sabretache un petit volume de l’auteur du Grand Siècle, que ce soient les Oraisons funèbres, les Discours sur l’histoire universelle, les Elévations ou encore l’Histoire des…
Je l’avoue, je suis de la vieille école. Les samedis ou durant les vacances, j’aime attendre le courrier et échanger quelques mots avec le facteur. C’est comme un rituel auquel je ne coupe pas. Durant l’été, un nouveau facteur a fait son apparition. Quelle n’a pas été ma stupeur quand j’ai vu qu’il ne portait pas la tenue officielle de l’ancienne régie fédérale. En effet, le jeune homme arborait un pantalon de jogging. Après une semaine et autant de nuances de jogging, je me décide enfin à lui demander si c’est la nouvelle tenue de la Poste. Il hausse les…