La voix muette
Dans l’édition du 29 novembre 2024 du journal Solidarités, organe du mouvement éponyme, on peut lire, à propos du dernier prix Goncourt : « En considérant le potentiel de propagande et d’instrumentalisation politique de la littérature, nous pourrions conclure que de tels livres devraient être condamnés ou boycottés. Cependant, une analyse proprement littéraire reste nécessaire ! » Étant opposé à la censure, j’ai décidé de répondre à l’invitation du mouvement anticapitaliste, féministe et écosocialiste. C’est ainsi que j’ai lu pour vous Houris de Kamel Daoud.
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