Pourquoi les Suisses doivent défendre la Nuit du Bien Commun
« Le droit international, il dit clairement qu’on a le droit de manifester de manière spontanée. » Au lendemain d’affrontements avec la police genevoise, un militant d’extrême-gauche justifiait ainsi – redoublement infantile du sujet compris – sur les ondes de la RTS (Forum, 3 octobre), une mobilisation pro-Gaza non autorisée en ville. Heureux monde, en effet, où seul compte le désir de paix universelle, sans tenir compte des commerces paralysés ni des gares envahies par les militants de tout poil. Le hic, c’est qu’à Genève, des éléments de cette même extrême-gauche tiennent soudain un tout autre discours lorsqu’il s’agit d’un…
